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Sanatorium Les Embruns, aujourd'hui centre de rééducation Les Embruns
France > Nouvelle-Aquitaine > Pyrénées-Atlantiques > Bidart

Vue des deux pavillons : le plus ancien à gauche. 2e quart du 20e siècle.
Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Cadastre ancien de 1831 : détail de la section D représentant la parcelle 18 acquise par le Docteur Peyret en 1920.
Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart, (c) Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques

Le Docteur Pierre Peyret et sa femme Marie Peyret, photo prise dans les années 1930.
Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

L'ancienne villa "Tamaris" devenue maison de cure au début des années 1920.
Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Vue d'ensemble: la villa, le hangar de cure et la maison Elisa dans les années 1920.
Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Le sanatorium Les Embruns vers 1920
Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Vue du hangar de cure réhaussé d'un étage, 2e quart du 20e siècle.
Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Vue du petit théâtre visible depuis le hangar de cure. Photo prise lors d'une célébration religieuse, 2e moitié du 20e siècle.
Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Vue d'ensemble depuis le nord-est : les deux pavillons et le hangar de cure, 2e quart du 20e siècle.
Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Vue aérienne du sanatorium, 2e moitié du 20e siècle.
Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Vue du premier pavillon et de son extension en toit-terrasse, 2e moitié du 20e siècle.
Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Vue des deux pavillons et du parc, 2e moitié du 20e siècle.
Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Vue du sanatorium décoré lors d'une célébration religieuse.
Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Procession au départ du sanatorium, années 1930.
Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Vue de la chapelle précédée des platanes taillés en tonnelle lors de la procession, années 1930.
Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Procession de passage au sanatorium, années 1930.
Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Départ de la procession depuis le parc, années 1930.
Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Procession de passage au sanatorium, le petit théâtre, années 1930.
Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Le petit théatre lors de la procession, années 1930.
Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Passage de la procession devant les galeries de cure des enfants, années 1930.
Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Madame Peyret sur la terrasse du sanatorium, années 1930.
Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Henri Rateau et sa femme dans le jardin du sanatorium.
Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Simone et Madeleine Rateau sur l'une des terrasses du sanatorium, années 1930.
Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Madame Peyret au côté du portrait de son défunt mari.
Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Le pavillon d'accueil, en 1994.
Harté-Lasserre Pierre-Jean
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Vue de la chapelle et du sanatorium, en 1994.
Harté-Lasserre Pierre-Jean
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Plan de masse, Lescourgues, novembre 1972.
Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Vue de la piscine d'eau de mer et de l'établissement, carte postale, 4e quart du 20e siècle.
Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Vue du bassin de balnéothérapie, carte postale, 4e quart 20e siècle.
Ehlinger Maïté, Elcé
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Le bâtiment d'accueil.
Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Vue de l'ancien logement du personnel.
Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Vue du gymnase et des vestiaires abandonnés.
Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Descente de croix, vitrail, Jean Lesquibe, 1953.
Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Vitrail, Jean Lesquibe, 1953
Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Vitrail, Jean Lesquibe, 1953
Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

La remise des clefs à saint Pierre, vitrail, Jean Lesquibe, 1953.
Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

L'ascesion de la vierge, vitrail, Jean Lesquibe, 1953.
Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Crucifixion, vitrail, Jean Lesquibe, 1953.
Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Vierge à l'enfant, vitrail, Jean Lesquibe, 1953.
Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart

Le péché originel, vitrail, Jean Lesquibe, 1953.
Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
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Titre : Sanatorium Les Embruns, aujourd'hui centre de rééducation Les Embruns
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Auteur de l'oeuvre : Rateau Henri, Bétons armés Hennebique, Lesquibe Jean, Carrère Charles
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Période : 3e quart 19e siècle , 1er quart 20e siècle , 2e quart 20e siècle , 3e quart 20e siècle
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Localisation : Pyrénées-Atlantiques , Bidart , rue de l' Uhabia
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Type de dossier : Dossier d'oeuvre architecture
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Aire d'étude : Bidart (commune)
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Phase du dossier : étudié
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Date d'enquête : 2018
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Auteur du dossier : Ehlinger Maïté
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Copyright : (c) Commune de Bidart, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Historique
D'après les matrices cadastrales, en 1869, Jean Bierge, potier à Bidart, acheta la maison "Iratchelenia" située sur la parcelle 18 de la section D du plan cadastral de 1831. Cette maison, qui se composait en 1831 d'un volume principal et d'un second volume en retour d'équerre autour d'une cour, fit l'objet d'une reconstruction. En effet, en 1872, Jean Bierge enregistra la construction d'une maison neuve et d'un four à poterie. A l'extrême fin de lu 19e siècle, la veuve Emma Mort, née Reydellet, possédait la maison. Elle apparaît sur une photographie ancienne. D'après le registre des constructions nouvelles, Emma Mort fit bâtir en 1900 une écurie et changea le nom de la maison, qui s'appela alors Les Tamaris. En 1921, elle vendit la maison au docteur Pierre Peyret qui officiait alors à l’hôpital militaire du château d’Ilbarritz. Tout en continuant son activité au château, il installa dans cette maison un préventorium privé, ouvert à tous. L’ancienne demeure, caractéristique des maisons de la fin du 19e siècle, fut transformée en maison de cure. Des terrasses furent notamment aménagées pour que les patients puissent profiter des cures d'air et de soleil. Le jardin, le mur d’enceinte et le portail en fer forgé furent conservés. L'établissement accueillait une vingtaine de pensionnaires. En 1922, suite à la fermeture de l'hôpital bénévole d'Ilbarritz et avec l’aide financière de Charles Willems, ancien administrateur de l’hôpital du château d’Ilbarritz et chirurgien renommé du début du 20e siècle, le docteur Peyret fit construire le hangar de cure au nord de la maison existante, afin d'accueillir la trentaine de malade d’Ilbarritz n’ayant pas trouvé de place dans les hôpitaux spécialisés dans les maladies osseuses. Figurant sur une autre photographie ancienne, ce nouvel équipement en béton était complètement ouvert du côté sud-est. Il était flanqué de deux petits pavillons et couvert d’une toiture à deux pans inversés.
D'après les matrices cadastrales, en 1924, la villa fut modifiée et agrandie. Elle présentait alors un "style basque" avec sa la large façade principale au pignon couvert par un large débord de toit, ses façades enduites présentaient aux étages un faux pan de bois et la toiture à deux pans était dissymétrique. Des galeries de cure furent installées à chaque étage. Elle fut surélevée d'un étage au centre et on la dota à l'est de terrasses et de coursives à chaque niveau, pour que les pensionnaires puissent profiter des cures d'air et de soleil. La surélévation fut traitée en faux pan de bois dans le goût du régionalisme néo-basque alors en plein essor à Bidart.
En 1926, un nouveau pavillon fut construit par Henri Rateau entre le hangar de cure et le sanatorium existant. Il se composait de cinq niveaux d'élévation et était couvert d'une toiture à deux pans symétriques. Des galeries de cure étaient installées aux trois derniers niveaux. A cette période, l'établissement pouvait recevoir 120 malades dont 35 enfants des deux sexes sur le premier bâtiment et 85 hommes dans le nouveau pavillon. Le docteur Peyret destinait une partie de son établissement aux malades de l'assistance médicale gratuite. Au cours des années 1930, le docteur Peyret fit l'acquisition de la parcelle 445 de la section D du plan cadastral de 1831 située de l'autre côté de l'actuelle rue de l'Uhabia. Elle comportait la maison Elisa construite en 1920 ainsi qu'une remise. La maison fut aménagée pour y héberger le personnel. Sur les parcelles 17-23, il fit construire par ailleurs une chapelle, un petit théâtre, de nouvelles galeries et un pavillon d'administration à l'entrée du domaine. D'après les plans de la Société Hennebique, entre 1924 et 1930, les architectes Henri Rateau et son collaborateur Maras dessinèrent plusieurs plans pour le sanatorium. Le docteur Peyret mourut en mai 1938 et fut enterré au pied de la chapelle des Embruns. Sa veuve Eglantine Peyret prit la direction de l’établissement jusqu’à l'arrivée des Sœurs Dominicaines de Notre-Dame du Très-Saint-Rosaire de Monteil en 1957. Une chapelle fut implantée au centre de la propriété : elle possède deux bas-reliefs en mosaïques réalisé par Charles Carrère et huit vitraux dont certains sont signés Jean Lesquibe et datés de 1953.
En 1961, l'association l'institut Hélio-Marin du Dr Peyret fut créée. A la mort de Madame Peyret, en 1966, la direction de l'établissement revint à Sœur Jacques-Marie. Au milieu des années 1960, la réussite des antibiotiques sur la tuberculose réduisit le temps de cure au sanatorium, le nombre de malades diminua. L'établissement se spécialisa dans la rééducation fonctionnelle. La direction fit appel à l’architecte et urbaniste parisien, Pierre Vago. D'après les plans, le projet prévoyait le réaménagement du sanatorium et la construction de plusieurs bâtiments dont deux piscines alimentées par de l’eau de mer et un gymnase. L'objectif était de se transformer en un véritable centre de thalassothérapie. A l'inauguration de la piscine chauffée en 1971, l'établissement portait alors le titre "d’Association de thalassothérapie des Embruns". Depuis les années 1970, le centre de rééducation Les Embruns, du fait de son activité médicale, fut en perpétuel développement et de nombreux remaniements eurent lieu sur les bâtiments. Certains éléments anciens furent néanmoins conservés comme l'ancienne cheminée du salon, le bas relief représentant le profil du docteur Peyret, la chapelle et ses vitraux datant de 1953.
Détail de l'historique
Description
Le centre de rééducation Les Embruns est situé au nord de l’embouchure de l’Uhabia et surplombe la plage de l'Uhabia. Ce complexe médical se compose de plusieurs bâtiments. A l'ouest de la rue de l'Uhabia, la propriété est clôturée par une maçonnerie enduite, l'accès principal est aménagé à l'angle sud-est. Le sol est entièrement bétonné. Le bâtiment principal se compose de quatre volumes reliés entre eux formant un plan dissymétrique, parallèle à l'océan. A l'entrée de la propriété, à l'angle sud-est, le bâtiment d'accueil construit dans les années 1930 abrite les bureaux de la direction. De l'autre côté de la rue de l'Uhabia, la piscine et les bâtiments liés à son fonctionnement sont à l'abandon.
Détail de la description
Murs |
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Toits |
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Couvertures |
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Décors/Technique |
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Décors/Représentation |
Précision sur la représentation : Les vitraux sont une représentations abstraites de: - Vierge à l'enfant - Le péché originel - La crucifixion - Clef : saint Pierre - Croix - Poisson Les mosaïques représentent la pêche miraculeuse et la nativité. |
Informations complémentaires
Type de dossier |
Dossier d'oeuvre architecture |
---|---|
Référence du dossier |
IA64002987 |
Dossier réalisé par |
Ehlinger Maïté
Chargée d'inventaire du patrimoine bâti à la mairie de Bidart. |
Cadre d'étude |
|
Aire d'étude |
Bidart (commune) |
Phase |
étudié |
Date d'enquête |
2018 |
Copyrights |
(c) Commune de Bidart, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel |
Citer ce contenu |
Sanatorium Les Embruns, aujourd'hui centre de rééducation Les Embruns, Dossier réalisé par Ehlinger Maïté, (c) Commune de Bidart, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/5c2f4c23-ec2d-45e5-96c1-fe70b99021d3 |
Titre courant |
Sanatorium Les Embruns, aujourd'hui centre de rééducation Les Embruns |
---|---|
Dénomination |
sanatorium |
Précisions sur la dénomination |
sanatorium pour malades atteints de tuberculose osseuse |
Appellation |
Villa Perpetua Sanatorium Les Embruns Préventorium Les Embruns Clinique Les Embruns |
Destination |
maison |
Statut |
|
---|
Documents d'archives
Centre d'archives d'architecture du XXe siècle Fonds Bétons Armés Hennebique, Sanatorium, Bidart
Lieu de conservation : Cité de l'architecture et du patrimoine, centre d'archives d'architecture du XXe siècle
Côte : BAH-02-1924-41599
ISBD/Commentaire :
Sanatorium pour M. le docteur Peyret, Bidart : plans et calques signés par les architectes Henri Rateau et Maras, 1924-1930.
AD Pyrénées-Atlantiques Matrice cadastrale, 1832-1914
Mention : Case 26.
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : E dépôt Bidart 1G3
ISBD/Commentaire :
Matrice cadastrale, 1832-1914.
AD Pyrénées-Atlantiques Matrice cadastrale de Bidart, propriétés foncières bâties, 1910-1957
Mention : Cases 148, 209 et 213.
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : E dépôt Bidart 1G5
ISBD/Commentaire :
Matrice cadastrale de Bidart, propriétés foncières bâties, 1910-1957.
AD Pyrénées-Atlantiques Registre de construction nouvelle
Mention : Case 32.
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : E dépôt Bidart 1G15
ISBD/Commentaire :
Registre des déclarations en cas de de construction nouvelle, de reconstruction, d'addition de construction et d'affectation de terrains à des usages commerciaux ou industriels, 1899-1926.
AM Bidart, Urbanisme, 1O8, Permis de construire.
Lieu de conservation : Archives municipales, Bidart
Côte : 1O8
ISBD/Commentaire :
Permis de construire, à partir de 1945.
Documents figurés
AD Pyrénées-Atlantiques. Atlas cadastral napoléonien, 1831
Mention : Section D.
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : E dépôt Bidart, 1G1
ISBD/Commentaire :
Atlas cadastral napoléonien, 1831.
IGN, Photographie aérienne, Bidart
ISBD/Commentaire :
Portail IGN, remonter le temps, campagne photographie de 1922 à 2012.
Archives privées, collection Henri Rateau, photographies.
ISBD/Commentaire :
Photographies conservées par la petite-fille d'Henri Rateau, Pascale Grindes.
Périodiques
PEYRET Pierre. "Sur la Côte basque". La Revue philanthropique, Paris, 1928
Mention : P. 761 à 768.
ISBD/Commentaire :
PEYRET Pierre. "Sur la Côte basque". La Revue philanthropique, Paris, 1928.
Bibliographie
Comité national de défense contre la tuberculose. L'Armement antituberculeux français
ISBD/Commentaire :
Comité national de défense contre la tuberculose. L'Armement antituberculeux français. Paris : Masson et Cie,1926.
GRANDVOINNET Philippe. Histoire des sanatoriums en France (1915-1945)
ISBD/Commentaire :
GRANDVOINNET Philippe. Histoire des sanatoriums en France (1915-1945), une architecture en quête de rendement thérapeutique. Thèse : Université de Genève, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, 2010 [en ligne depuis 2018 : https://hal.science/tel-01935993v1].
Ouvrage collectif. Bidart : Bidarte. Saint-Jean-de-Luz : éditions Ekaina
Mention : Les noms des maisons de Bidart, p.288-348.
ISBD/Commentaire :
Ouvrage collectif. Bidart : Bidarte. Saint-Jean-de-Luz : éditions Ekaina, 2004.
Galerie d'images 42

Vue des deux pavillons : le plus ancien à gauche. 2e quart du 20e siècle.
Auteur de l'illustration : Ehlinger Maïté
Cadastre ancien de 1831 : détail de la section D représentant la parcelle 18 acquise par le Docteur Peyret en 1920.
Auteur de l'illustration : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Le Docteur Pierre Peyret et sa femme Marie Peyret, photo prise dans les années 1930.
Auteur de l'illustration : Rambert Christophe
L'ancienne villa "Tamaris" devenue maison de cure au début des années 1920.
Auteur de l'illustration : Rambert Christophe
Vue d'ensemble: la villa, le hangar de cure et la maison Elisa dans les années 1920.
Auteur de l'illustration : Ehlinger Maïté
Vue du hangar de cure réhaussé d'un étage, 2e quart du 20e siècle.
Auteur de l'illustration : Ehlinger Maïté
Vue du petit théâtre visible depuis le hangar de cure. Photo prise lors d'une célébration religieuse, 2e moitié du 20e siècle.
Auteur de l'illustration : Rambert Christophe
Vue d'ensemble depuis le nord-est : les deux pavillons et le hangar de cure, 2e quart du 20e siècle.
Auteur de l'illustration : Ehlinger Maïté
Vue du premier pavillon et de son extension en toit-terrasse, 2e moitié du 20e siècle.
Auteur de l'illustration : Ehlinger Maïté
Vue des deux pavillons et du parc, 2e moitié du 20e siècle.
Auteur de l'illustration : Ehlinger Maïté
Vue du sanatorium décoré lors d'une célébration religieuse.
Auteur de l'illustration : Rambert Christophe
Vue de la chapelle précédée des platanes taillés en tonnelle lors de la procession, années 1930.
Auteur de l'illustration : Rambert Christophe
Procession de passage au sanatorium, le petit théâtre, années 1930.
Auteur de l'illustration : Rambert Christophe
Passage de la procession devant les galeries de cure des enfants, années 1930.
Auteur de l'illustration : Rambert Christophe
Madame Peyret sur la terrasse du sanatorium, années 1930.
Auteur de l'illustration : Rambert Christophe
Henri Rateau et sa femme dans le jardin du sanatorium.
Auteur de l'illustration : Rambert Christophe
Simone et Madeleine Rateau sur l'une des terrasses du sanatorium, années 1930.
Auteur de l'illustration : Rambert Christophe
Vue de la piscine d'eau de mer et de l'établissement, carte postale, 4e quart du 20e siècle.
Auteur de l'illustration : Ehlinger Maïté
Vue du bassin de balnéothérapie, carte postale, 4e quart 20e siècle.
Auteur de l'illustration : Ehlinger Maïté, Elcé
La remise des clefs à saint Pierre, vitrail, Jean Lesquibe, 1953.
Auteur de l'illustration : Ehlinger MaïtéLocalisation
Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Pyrénées-Atlantiques , Bidart , rue de l' Uhabia
Cadastre: 1831 D 18 (Une maison figure sur le cadastre ancien), 2017 AO 51,52, 54-56, 63, 313, 314
Cadastre ancien de 1831 : détail de la section D représentant la parcelle 18 acquise par le Docteur Peyret en 1920.

Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart, (c) Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Le Docteur Pierre Peyret et sa femme Marie Peyret, photo prise dans les années 1930.

Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
L'ancienne villa "Tamaris" devenue maison de cure au début des années 1920.

Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Vue d'ensemble: la villa, le hangar de cure et la maison Elisa dans les années 1920.

Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Le sanatorium Les Embruns vers 1920

Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Vue du hangar de cure réhaussé d'un étage, 2e quart du 20e siècle.

Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Vue du petit théâtre visible depuis le hangar de cure. Photo prise lors d'une célébration religieuse, 2e moitié du 20e siècle.

Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Vue d'ensemble depuis le nord-est : les deux pavillons et le hangar de cure, 2e quart du 20e siècle.

Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Vue aérienne du sanatorium, 2e moitié du 20e siècle.

Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Vue du premier pavillon et de son extension en toit-terrasse, 2e moitié du 20e siècle.

Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Vue des deux pavillons et du parc, 2e moitié du 20e siècle.

Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Vue du sanatorium décoré lors d'une célébration religieuse.

Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Procession au départ du sanatorium, années 1930.

Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Vue de la chapelle précédée des platanes taillés en tonnelle lors de la procession, années 1930.

Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Procession de passage au sanatorium, années 1930.

Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Départ de la procession depuis le parc, années 1930.

Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Procession de passage au sanatorium, le petit théâtre, années 1930.

Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Le petit théatre lors de la procession, années 1930.

Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Passage de la procession devant les galeries de cure des enfants, années 1930.

Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Madame Peyret sur la terrasse du sanatorium, années 1930.

Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Henri Rateau et sa femme dans le jardin du sanatorium.

Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Simone et Madeleine Rateau sur l'une des terrasses du sanatorium, années 1930.

Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Madame Peyret au côté du portrait de son défunt mari.

Rambert Christophe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Le pavillon d'accueil, en 1994.

Harté-Lasserre Pierre-Jean
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de la chapelle et du sanatorium, en 1994.

Harté-Lasserre Pierre-Jean
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Plan de masse, Lescourgues, novembre 1972.

Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Vue de la piscine d'eau de mer et de l'établissement, carte postale, 4e quart du 20e siècle.

Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Vue du bassin de balnéothérapie, carte postale, 4e quart 20e siècle.

Ehlinger Maïté, Elcé
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Le bâtiment d'accueil.

Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Vue de l'ancien logement du personnel.

Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Vue du gymnase et des vestiaires abandonnés.

Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Descente de croix, vitrail, Jean Lesquibe, 1953.

Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Vitrail, Jean Lesquibe, 1953

Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Vitrail, Jean Lesquibe, 1953

Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
La remise des clefs à saint Pierre, vitrail, Jean Lesquibe, 1953.

Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
L'ascesion de la vierge, vitrail, Jean Lesquibe, 1953.

Ehlinger Maïté
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Crucifixion, vitrail, Jean Lesquibe, 1953.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Vierge à l'enfant, vitrail, Jean Lesquibe, 1953.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Le péché originel, vitrail, Jean Lesquibe, 1953.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
La pêche miraculeuse, mosaïque, Charles Carrère, vers 1950.

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La nativité, mosaïque, Charles Carrère, vers 1950.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Commune de Bidart
Vue des deux pavillons : le plus ancien à gauche. 2e quart du 20e siècle.

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Dossiers en lien avec Sanatorium Les Embruns, aujourd'hui centre de rééducation Les Embruns
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